“L’Océan, c’est vivant !” une exposition photos sur les rives de la Seine

En occupant 70% de la planète, les océans doivent être au cœur de nos préoccupations
environnementales. Face aux pressions anthropiques comme la surpêche, la pollution plastique, le
réchauffement climatique ou le trafic maritime en constante augmentation, il y a urgence. Avec le
second plus grand espace maritime au monde, notre pays a clairement des responsabilités
essentielles pour la conservation des écosystèmes marins.
C’est dans ce cadre que s’inscrit l’exposition photographique « L’Océan, c’est vivant ! », à l’initiative
de l’Institut de l’Océan de l’Alliance Sorbonne Université et la Ville de Paris, récemment
récompensée par l’ONU pour son engagement climatique.
Première université marine d’Europe, Sorbonne Université fait de l’océan l’une de ses thématiques
prioritaires fortes et structure sa recherche sur le sujet autour de son institut pluridisciplinaire dédié.
Créé en 2020, l’Institut de l’Océan de l’Alliance Sorbonne Université peut s’appuyer sur quelque 1 500
personnels d’enseignement et de recherche au sein d’une trentaine de laboratoires qui développent
des travaux en sciences océaniques.
Cette exposition photographique exceptionnelle sera présentée pendant un mois sur les rives de la
Seine. Elle rassemble les contributions d’organisations non gouvernementales1 , d’une aire marine
protégée internationale2 et de 8 structures de recherche 3 dont 3 stations marines et 2 laboratoires de
l’Alliance Sorbonne Université impliqués dans l’Institut de l’Océan :

• La Station biologique de Roscoff, l’Observatoire océanologique de Banyuls et l’Institut de la mer de Villefranche (Sorbonne Université/CNRS) ;
• L’Institut Jean Le Rond d’Alembert (Sorbonne Université/CNRS) ;
• L’Institut de Systématique, Evolution, Biodiversité (MNHN/Sorbonne Université/CNRS/EPHE/Université des Antilles).

Les 30 panneaux photos exposés ont vocation à susciter l’émerveillement, mais surtout à éveiller les
consciences afin d’inciter toutes et tous à se préoccuper davantage des conséquences de nos activités
anthropiques en mer.

Communiqué de presse